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Rumeur (o) phobie 

Dans  ses sorties lors de sa visite au Trarza, le président Mohamed Ould Ghazwani a mis garde contre la manipulation des consciences par les fausses rumeurs visant à créer des tensions intercommunautaires. Allusions générales car il en circule à gogo dans les réseaux sociaux . Les usagers du. virtuel s’y donnent à coeur joie. Le.president a averti sans sourire  que  les autorités compétentes travaillent sur un projet de  textes juridiques pour   criminaliser de tels comportements contre lesquels la loi va sévir sans pitié. A bon entendeur…

 La fête n’a pas été…

 

Alors que tous les calibres politiques du Trarza s’étaient rués au terroir pour ne pas rater l’avènement le coronavirus est venu gâcher la fête. Les lampions des grandes soirées folkloriques qui faisaient les choux gras  des rivalités politiques ne se seront pas allumées. Les réunions avec les cadres de la région ont été filtrées pour éviter d’éventuelles contagieuses du virus covid avec ses variants de transmission à grande vitesse (VTGV). A quelque chose malheur est bon!

 

Un autre Karim  dans le viseur

 

Interpol a émis, lundi 5 juillet, un mandat d’arrêt international à l’encontre de Karim Keïta, l’un des fils de l’ex-président malien Ibrahim Boubacar Keïta, dans le cadre d’une enquête sur la disparition d’un journaliste d’investigation en 2016, a-t-on appris de source judiciaire malienne et auprès d’Interpol au Mali.

 

La « notice rouge » d’Interpol a été diffusée à la demande d’un juge d’instruction du tribunal de grande instance de la commune IV de Bamako, la capitale, a dit une source proche de l’enquête s’exprimant sous le couvert de l’anonymat.  Après Karim wade c’est le tour de Karim Keita. à être rattrapé par ses  pêches. L’après  pouvoir ne pardonne pas les crapules.

 

Aziz persiste et signe

 

L’ancien président Mohamed O. Abdel Aziz a refusé lundi 5 juillet de recevoir une délégation du mécanisme national pour la prévention contre la torture qui s’était rendu dans son lieu de détention.

 

Toutefois la délégation a eu l’assurance de la part des responsables de sa surveillance  que les conditions de détention de l’ancien président sont bonnes.

 

Ce mécanisme créé  2015 en application de la convention internationale pour la prévention de la torture que la Mauritanie a ratifié à mandat de  visiter des détenus pour constater  leurs conditions carcérales. Il y a quelques jours c’était au tour de la CNDH d’être « raccroché » au nez par Aziz qui refusa  la  visite de cette Commission.

 

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